Le soleil brillait haut dans le ciel et une légère et agréable brise soufflait dans les hautes herbes des plaines et des collines. Il règnait dans l'air une douce odeur de printemps, et une jeune fille aux cheveux roux profitait des premiers jours de soleil. Elle était allongée dans les hautes herbes sur une cape de fourrure, un bâton blanc, un arc et des flèches à ses côté. Elle pensait à tout et à rien, et la sensation du soleil et du vent sur sa peau lui faisait oublier tout ses problèmes.
Après un long moment passé à somnoler, elle se risqua à ouvrir les yeux, et fut tout d'abord éblouie par la lumière, maudissant ses yeux trop clair et trop peu résistant au soleil, se frottant les paupières de ses mains. Elle finit par se redresser, encore un peu fatiguée et observa un long moment les plaines. En fait elle attendait le bon moment : elle avait prit son arc pour chasser.
La jeune femme observait les plaines comme ses yeux lui permettait, et elle finit par apercevoir une forme non loin. Elle se dressa silencieusement et plissa les yeux : un lapin! Elle pria le dieu du vent pour que ce dernier ne lui soit pas défavorable et que le lapin ne sente pas son odeur, et brandit son arc avec silence. Elle prit une flèche, aussi lentement qu'elle le pouvait, le lâchant pas des yeux le lapin qui ne faisait pas attention à elle. La jeune femme se mit à genoux et tendit la corde de son arc, fermant un œil et se concentrant sur sa cible, puis lâcha la flèche, qui vola et vint se loger dans les côtes de l'animal, qui roula sur le sol et se débattit en couinant. Amélia n'en revint pas ses yeux, et un grand sourire égaya son visage. C'était l'une de ses premières prise, et elle était terriblement fière d'elle !
Elle laissa ses affaires là où elle était et ne prit avec elle qu'un petit couteau, se précipitant vers l'animal en courant. Elle y porta les mains -un peu avec dégout- et tâcha de lui offrir une fin rapide. Puis elle retira la flèche, et observa toujours avec joie et fierté le lapin qu'elle avait elle-même attrapée.
Son moment de gloire fut soudainement brisé par la venue d'une silhouette noire qui se dressait en haut d'une colline en face d'elle. Elle avait le soleil dans les yeux et ne voyait rien, et porta sa main devant ses yeux pour les abriter du soleil : en vain. Elle décida donc de parler, assez fort pour se faire entendre : " Qui êtes-vous, que faites vous ici ? "
Après un long moment passé à somnoler, elle se risqua à ouvrir les yeux, et fut tout d'abord éblouie par la lumière, maudissant ses yeux trop clair et trop peu résistant au soleil, se frottant les paupières de ses mains. Elle finit par se redresser, encore un peu fatiguée et observa un long moment les plaines. En fait elle attendait le bon moment : elle avait prit son arc pour chasser.
La jeune femme observait les plaines comme ses yeux lui permettait, et elle finit par apercevoir une forme non loin. Elle se dressa silencieusement et plissa les yeux : un lapin! Elle pria le dieu du vent pour que ce dernier ne lui soit pas défavorable et que le lapin ne sente pas son odeur, et brandit son arc avec silence. Elle prit une flèche, aussi lentement qu'elle le pouvait, le lâchant pas des yeux le lapin qui ne faisait pas attention à elle. La jeune femme se mit à genoux et tendit la corde de son arc, fermant un œil et se concentrant sur sa cible, puis lâcha la flèche, qui vola et vint se loger dans les côtes de l'animal, qui roula sur le sol et se débattit en couinant. Amélia n'en revint pas ses yeux, et un grand sourire égaya son visage. C'était l'une de ses premières prise, et elle était terriblement fière d'elle !
Elle laissa ses affaires là où elle était et ne prit avec elle qu'un petit couteau, se précipitant vers l'animal en courant. Elle y porta les mains -un peu avec dégout- et tâcha de lui offrir une fin rapide. Puis elle retira la flèche, et observa toujours avec joie et fierté le lapin qu'elle avait elle-même attrapée.
Son moment de gloire fut soudainement brisé par la venue d'une silhouette noire qui se dressait en haut d'une colline en face d'elle. Elle avait le soleil dans les yeux et ne voyait rien, et porta sa main devant ses yeux pour les abriter du soleil : en vain. Elle décida donc de parler, assez fort pour se faire entendre : " Qui êtes-vous, que faites vous ici ? "
Dernière édition par Foudre en bouteille le Mer 9 Juil - 20:23, édité 1 fois